AJC s’est attaché à faire vivre le jazz français en Europe depuis sa création en 1993 cherchant à créer pour ses artistes des conditions idéales de diffusion en invitant à la découverte du jazz français par notre programmation d’invitations de professionnel·les, en créant des dispositifs bi-nationaux entre la France et la Grande-Bretagne, l’Autriche, les Pays-bas,
Accompagner le monde du jazz et des musiques improvisées dans sa compréhension des nombreux enjeux autour de la transition écologique, développer des outils et méthodologie partagées pour réduire son empreinte carbone et rendre ce travail ouvert à tous les acteurs du monde de la musique, ce sont les enjeux et ambitions qui ont conduit à la naissance de ce projet unique
Partant du constat que notre réseau manque d’informations aussi bien quantitatives que qualitatives sur ses adhérents, son impact global en terme de public, de budget, et autres, a été mis en place en 2016 une enquête portant sur le réseau. L’objectif de ce travail est d’une part, de combler ce manque mais aussi de permettre à ses adhérents d’accéder à une meilleure connaissance de leur réalité. Pour ce faire, nous avons développé deux axes de travail, l’un portant sur les questions quantitatives, au travers d’un outil intitulé Observation participative et partagée et l’autre qualitative, en utilisant le travail de différents chercheurs.
AJC a souhaité placer la question esthétique au coeur de son projet collectif car le jazz, tout en partageant nombres de valeurs avec les musiques savantes, contemporaines ou actuelles, a une histoire, une sociologie et une économie spécifique. Dès lors, AJC s’engage en faveur de la promotion et de la défense du jazz dans toute sa diversité dans un esprit de solidarité entre ses membres et en collaboration avec l’ensemble de ses partenaires professionnels.
En 2007, sollicité par le Bureau Export de la Musique Française à Berlin, Jazzdor organise la première édition du festival Jazzdor Strasbourg-Berlin
Son ambition est de contribuer à la mise en valeur, hors de nos frontière, du jazz français et de rendre compte auprès d’un auditoire international de la vivacité de notre scène nationale. Elle est aussi d’accompagner des projets musicaux franco-allemands. Chaque année, sont ainsi produites 3 à 4 créations franco-allemandes tandis que les projets français programmés à Berlin sont des « Premières allemandes ».
Avec la création du French Nordic Jazz Transit en 2013, la collaboration entre Vapaat äänet et l’AJC prend une nouvelle dimension. Ce programme d’échange avec le Danemark, la Finlande, la Norvège et la Suède s’appuie sur un impressionnant réseau de partenaires nordiques et français, et bénéficie en 2003-2004 du soutien du Conseil Culturel Nordique. Le French Nordic Jazz Transit devient une plateforme dédiée à l’exportation du jazz français. Au fil des années, le FNJT s’affirme comme l’emblème du savoir-faire développé par Charles Gil, identifié comme partenaire privilégié associé à l’AJC, par les acteurs du jazz en zone nordique et balte ainsi que les membres du réseau AJC.
Il y a un peu plus de 20 ans, une rencontre entre Paolo Damiani (musicien, pédagogue, compositeur et seule musicien étranger à avoir dirigé l’ONJ) et Armand Meignan (Directeur de plusieurs festivals de jazz en France et président-créateur de l’AFIJMA) a créée un nouveau festival « Una Striscia di Terra Feconda », un nom étrange pour une manifestation construite sur la rencontre, l’amitié, l’échange créatif entre le jazz français et le jazz italien.
Il y a un peu plus de 20 ans, une rencontre entre Paolo Damiani (musicien, pédagogue, compositeur et seule musicien étranger à avoir dirigé l’ONJ) et Armand Meignan (Directeur de plusieurs festivals de jazz en France et président-créateur de l’AFIJMA) a créée un nouveau festival « Una Striscia di Terra Feconda », un nom étrange pour une manifestation construite sur la rencontre, l’amitié, l’échange créatif entre le jazz français et le jazz italien.
Le programme d’invitations de professionnels étrangers lancé en 1994, trouve son origine dans le constat que la scène française reste sous-représentée à l’étranger et notamment en Europe.
Il s’agissait alors de participer à la valorisation du jazz français en prenant appui sur l’existant, en l’occurrence, des festivals engagés dans une programmation mettant en avant la création contemporaine française en grande majorité. Cela correspond ainsi en tout point à la charte d’AJC qui mentionne l’importance de la « valorisation du jazz français et européen ». L’objectif espéré est que ce dispositif puisse provoquer des « retours de programmation » et des « aller-retours » entre les membres du réseau et les structures invitées.