Avec l’arrivée de 25 nouveaux membres, festivals mais aussi scènes conventionnées et nationales, théâtres, centres culturels, clubs, AJC regroupe à ce jour près de 65 structures françaises et européennes qui partagent ses objectifs et valeurs, tels qu‘énoncés dans sa charte et devient ainsi le premier réseau européen de diffusion et de production de jazz et musiques improvisées touchant potentiellement chaque année plus d’1,5 million de spectateurs.
La présence d’autant de structures relève d’un réel positionnement militant, et pour certains depuis de nombreuses années, mettant en avant un projet culturel et transformant leurs responsables en acteurs culturels.
Pour réaliser concrètement leurs objectifs, les adhérents d’AJC entreprennent un travail de fond, à l’année (saison, stages, ateliers pédagogiques, actions en milieu scolaire, en milieu rural, résidences d’artistes, projet avec les pratiques amateurs. .), en s’appuyant évidemment sur une structure permanente professionnelle. Ensemble ils constituent désormais un élément clé du dispositif de soutien à la création et à la diffusion du jazz en France, aux côtés des autres réseaux (Fedelima, Fneijma, etc ) avec lesquels les actions communes sont de plus en plus fréquentes et structurées.
AJC a ainsi pour vocation de représenter les diffuseurs de jazz mais aussi de travailler à son développement, en participant directement ou indirectement à la mise en œuvre d’actions, au niveau national comme européen.
Du fait de l’importance de ses membres sur le territoire français mais aussi européen, AJC est devenu un interlocuteur indispensable auprès des pouvoirs publics et des sociétés civiles.